18 octobre 2024
Le magazine en ligne de la Gestion Privée Caisse d’Epargne pour vous guider dans vos projets patrimoniaux.
Grâce à une offre souple et adaptable, vous pouvez dessiner une assurance vie correspondant à vos besoins et à votre sensibilité au risque. Si les supports en euros vous permettent de sécuriser votre capital, les supports en unités de compte offrent la possibilité d’une diversification, en contrepartie d’une certaine prise de risque. Dans un contexte de marchés difficiles, cette complémentarité préserve l’attractivité de l’assurance vie. Décryptage.
Les fonds en euros sont constitués à 80 % environ d’obligations (( Ils peuvent également être composés de supports en actions ou d’OPCVM. )) . « La baisse des taux d’intérêt ces dernières années sur les marchés financiers se répercute sur le rendement de cette poche obligataire », relève Claude Mausy, animateur Gestion Privée à la Caisse d’Epargne Alsace. Le rendement des Obligations Assimilables du Trésor (OAT) Français à 10 ans par exemple, très prisées par les investisseurs en quête de sécurité, est passé de 1,15 % en novembre 2014 à 0,42 % au 11 mars 2015 (( Source : Banque de France. )) .
Toutefois, les fonds en euros conservent une performance supérieure, la chute des taux ne se répercutant que progressivement sur la performance (( Les performances passées ne présagent pas des performances futures. )) ; avec un rendement moyen estimé à 2,2 % pour 2014 (( Source : Argus de l’Assurance )) , les fonds en euros devraient rapporter en 2015, après prélèvements sociaux (15,5 %) et inflation, un rendement encore intéressant. En effet, l’inflation a encore baissé par rapport aux années précédentes (0.9 % en 213, 0.5 % en 2014), et dans ce contexte, les taux de rendements des fonds en euros restent attractifs. D’autre part, ils restent toujours supérieurs aux rendements des livrets d’épargne réglementée, dont les intérêts sont exonérés d’impôt sur le revenu (Livret A et Livret de développement durable).
Le support en euros dans l’assurance vie reste ainsi, dans le contexte actuel de taux très bas, attractif par rapport aux placements sans risques (Livret A, LDD). « L’assurance vie demeure l’un des placements les plus rentables pour les épargnants qui cherchent la sécurité », rappelle Claude Mausy, chargé d’affaires Gestion Privée à la Caisse d’Epargne Alsace.
L’assurance vie permet une garantie sur les sommes versées sur le fonds en euros (hors frais), tout en offrant une totale disponibilité (( Sauf en cas de bénéficiaire acceptant le contrat ou de nantissement de celui-ci.)) . Vous pouvez retirer votre épargne à tout moment, sans risque de subir des pertes. « Les assureurs ont l’obligation de détenir des fonds propres suffisants pour assumer ces engagements, ajoute Claude Mausy. Et, chaque début d’année, est fixé pour chaque support en euros un taux minimum de revalorisation (( Taux global de revalorisation net de frais de gestion et hors prélèvements sociaux ))qui s’appliquera pour l’année en cours. Une participation aux bénéfices peut s’ajouter à ce taux minimum et l’on obtient le taux de rémunération du support en euros. »
Par ailleurs, tous les ans, les intérêts dégagés par le placement s’ajoutent au capital initial, et profitent à leur tour de cette même sécurité ; c’est l’effet « cliquet ». « L’effet « cliquet » présente un double avantage pour l’adhérent ayant investi sur le support en euros de son contrat d’assurance vie, explique Christèle Bordigoni, Responsable du marché assurance vie Gestion Privée Caisse d’Epargne :
La recherche de diversification, en équilibrant supports en unités de comptes (( Les montants investis sur des supports en unités de compte sont sujets à des fluctuations à la hausse ou à la baisse. )) et fonds en euros en fonction de son appétence au risque, de son horizon de placement, de son profil et la mise en place d’options de gestion automatique (( Selon les dispositions légales et contractuelles en vigueur )), permettent de chercher plus de performance pour son placement assurance vie. « Sans oublier que l’assurance vie conserve d’énormes atouts en matière de fiscalité, et surtout en matière de succession », conclut Claude Mausy.
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Rédaction achevée au 20/03/2015, sous réserve d’évolutions de l’actualité économique et financière, ainsi que des dispositions fiscales, juridiques et réglementaires.